C’est ce qu’a dit le président du centre culturel de mobayi mbongo Alain Diamba Tara Ahonziala ce samedi 7 septembre lors de la commémoration du 27eme anniversaire de la mort de Mobutu à Kinshasa.
L’ancien collégien Alain a gardé un bon souvenir du collège présidentiel de Gbagbolite que à l’heure époque surtout à l’eternat il manque des riens comme à manger.
“Moi personnellement Mobutu m’a gâté parceque ; je suis son fruit,; j’ai étudié dans le collège présidentiel de Gbagbolite ; collège renommé qui a fait sortir des ministres, des généraux . nous gardons de lui (comme souvenir ndlr) moi étant que collégien et économe à l’eternat il nous a gâté et on manque pas à manger “a témoigné le président de centre culturel de mobayi mbongo Alain Diamba Tara Ahonziala.
En effet,Les membres de la famille biologique Joseph-Désiré Mobutu, les anciens collaborateurs,ainsi que amis et connaissances, ont commémoré, samedi 7 septembre 2024 le 27eme anniversaire de la disparition de l’ancien président du Zaïre, aujourd’hui République démocratique du Congo décédé au Maroc.
A cette occasion, une messe d’action de grâce a été célébrée à la cathédrale Notre Dame du Congo, à Kinshasa, offrant un moment de réflexion sur l’héritage laissé par cet homme d’État.
” ne rien autre que l’UNITE NATIONALE”
L’unité nationale est souvent citée comme l’héritage le plus marquant de l’ex président du Zaïre.
En prenant la parole dignitaire du régime de Mobutu Catherine Nzunzi wa Mbombo, présente à la messe, a souligné l’importance de cet héritage : “L’unité nationale était une chose réelle, nous devons nous les intellectuels bannir le tribalisme. Et je pense que si nous pouvons faire un effort de faire marche en arrière pour essayer d’intégrer et de prouver dans les actes tout ce qu’il nous avait donné comme héritage nous aurons un pays où il faut bon vivre.”
L’abbé Camille Esika Dingo, officiant de la messe, a exhorté les Congolais à perpétuer cet héritage d’unité pour les générations futures.
Au nom de la famille, André Bowanga a plaidé pour le retour des dépouilles de Mobutu et de Moise Tshombe au pays, en appelant à leur accorder une reconnaissance nationale.
La rédaction.
