C’est ce qu’a déclaré, mercredi, le ministre de l’Industrie, dans une rencontre avec la Fédération des entreprises du Congo (FEC) à Kinshasa,
« Cent millions des Congolais attendent de moi d’industrialiser ce pays et de créer des richesses pour les PME et PMI, pour le développement de la République démocratique du Congo. Le but n’est pas de se faire de l’argent, mais de créer des richesses et les partager de manière équitable pour les générations présente et future », a déclaré Louis Watum Kabamba, ministre de l’Industrie et développement des PME/PMI.
Il a fait savoir également que prendre soin des ressources dont regorge le pays et les développer afin de pouvoir léguer aux générations à venir un bon héritage, devrait être une obligation pour éviter que dans l’avenir nos compatriotes deviennent des expatriés. C’est la raison pour laquelle, a-t-il dit, il s’est levé pour changer cette situation qui ruine notre esprit et notre mentalité.
En prenant la parole , le secrétaire général de la FEC, John Kono, a demandé au ministre Louis Watum de rester focaliser sur l’industrialisation dans le secteur minier pour le faire avancer et d’innover pour surmonter les obstacles et faire une bonne gestion.
« Nous sommes tous convaincus que votre présence au gouvernement va faire changer beaucoup des choses, car vous avez la capacité de porter votre savoir-faire et de le mettre à l’oreille des décideurs pour que nous ayons un changement réel dans le secteur public-privé mais aussi booster l’économie de notre pays », a dit le secrétaire général de la FEC.
La rencontre de la chambre de mines de la Fédération des entreprises du Congo avec le ministre de l’Industrie et développement des PME/PMI, a réuni plusieurs entreprises minières pour honorer celui qui a été le président de ladite chambre avant d’occuper désormais le poste de ministre de l’Industrie au sein de l’actuel gouvernement.
La cérémonie s’est déroulée en trois étapes à savoir, les témoignages des différents collaborateurs, la remise des cadeaux et le mot du remerciement du secrétaire général de la FEC.
La rédaction