Thierry kasongo Muyumba journaliste de profession, formateur des jeunes journalistes passionnés du metier et initiateur de la Haute Ecole des Techniques de Communication numérique et reporter du magazine sur la situation de l’enfant Zone Afrique fut réellement interpellé et relaxé grâce au professionnalisme du colonel Camp PM Kokolo
Qu’est-ce qui s’est passé ?
Pendant la fête de mariage d’un officier de force navale,, il sest passé un afrontement violent entre un grand nombre des Kulunas et des militaires non autrement identifiés. C’etait tard la nuit sur l’avenue Dibaya A9 et cela peu après le depart des mariés de la salle de fête, nous renseigne un voisin qui prenait de l’air sur son avenue.
Selon ce voisin sous anonymat, pendant cet accrochage avec les kulunas, un militaire non autrement identifié qui serait parmi les participants de cette fête a tiré à balle réelle et les balles, au lieu d’être orntées vers les Kulunas, ont blaissé grièvement 3 paisibles citoyens qui étaient devant leurs parcelles pour voir la scène. Une situation à la base de la tension dans ce quartier populaire de Kinshasa.
À en croire la même source, vers 5 heures, une équipe de la police nationale congolaise commissariat de Kalamu est arrivée sur le lieu pour sécuriser les invités face à la colère des jeunes du quartier qui tenaient à se venger en brulant les invités cachés dans la salle de fête.
Dans cette confusion totale, 3 jeeps de la Police Militaire PM camp KOKOLO arrive sur le lieu pour arreter les presumés suspects parmi les KULUNAS et ceux qui ont tiré des balles réelles.
Pendant la fouille, toute personne en veste et chemise blanche est suspecte car l’auteur en veste noire et chemise blanche.
C’est dans ce cafouillage que le journaliste Thierry Kasongo Muyumba habillé en veste bleue, une chemise de couleur blanche est interpellé avec un autre avocat qui tentaient comme lui, à défendre certains invités innocents.
Et, c’etait sous une pluie fine matinale de ce dimanche 1 décembre 2024 vers 6 heures 30 que des jeunes militaires sous la supervision d’un officier en t-shirt brun et jeans bleu ont ramassé violemment et d’une maniere brutale, le journaliste politico-parlementaire et Ambassadeur spécial pour les droits de l’enfant Zone Afrique, Thierry Kasongo Muyumba pour le placer en sandwich sous les sièges de la jeep ajoute ce temoin qui se demande pourquoi ce journaliste était interpellé et pourtant, il était munis de ses pieces d’identité.
Joint au téléphone, c’est vrrs 11 heures 30 que le formateur des formateurs en santé de l’adolescent, Thierry Kasongo Muyumba a precisé qu’il était indexé sous pretexte qu’iil etait en veste bleue et chemise de couleur blanche comme l’auteur materiel de cette affaire et de deux, il voulait se faire Martyr en defendant des délinquants.
Il indique cependant, que c’était vers 10 heures 30 que le commandant en Chef, apparemment un Colonel superieur en tenue civile est arrivé à à bord de sa jeep au commandement PM pour enfin ordonné sa relaxation avec deux autres.
C’est dans cette circonstance que ce journaliste professionnel bien identifié en Afrique Centrale et ancien Directeur Général de Radio Télé 7 a été liberé après avoir été auditionné sur proces verbal.
Les corporation de la presse et les organisations Citoyennes de protection en RDC notamment, la Conférence Permanente des Journalistes Politico-parlementaires (CPJP), le Parlement des Femmes des Medias pour le Développement (PARFEM-D), le Parlement Francophone pour Adolescents (APF), le Collectif des Journalistes et Editeurs du Congo (COJEC), le Réseau des Femmes d’Afrique Francophone pour l’atteinte des Objectifs de Développement (RFAF-ODD), le Plaidoyer et protection des journalistes ( PPJ) Alerte RDC deplorent cette situation qui intervient quelques jours avant l’enterrement de la journaliste Jemimah Diane Mongwo de la RTNC, tuée par des Kulunas sur l’axe Asanef camp kokolo.
Ces organisations Citoyennes de la presse remecie le professionnalisme du Commandant Police Militaire PM qui a analyser et relaxé le journaliste Thierry Kasongo Muyumba dans le temps.
Legrandpays.com/Journaliste d’investigation
Michael Bakemba