C’est ce qu’a rapporté un fonctionnaire local à l’agence de presse allemande DPA . De nombreuses victimes seraient décédées plus tard, après que le bâtiment ait été incendié.
À cet effet, Un document interne des Nations unies auquel la BBC a pu accéder montre qu’environ 165 femmes ont été agressées lors de l’évasion de prisonniers masculins. On ne sait pas encore si les violeurs étaient des prisonniers évadés, des rebelles de la milice M23 ou des membres d’autres milices locales. La plupart des femmes sont ensuite mortes dans l’incendie, selon le rapport.
Le chaos règne à Goma, dans l’est du Congo, depuis le 27 janvier après l’invasion de la ville par les rebelles du M23. Ce mouvement rebelle, soutenu par le Rwanda voisin, est actif dans l’est du Congo depuis des années et contrôle désormais de grandes parties du Nord-Kivu. Certains des métaux les plus rares et les plus précieux du monde sont extraits en grandes quantités dans cette région riche en ressources.
Legrandpays.